Arrivée tardive à Tolède. On comprendra pourquoi ci-après. On décide de marcher pour nous rendre à l'hôtel. Mal nous en prit. Cette ville est située sur un promontoire et la gare est assez loin de l'hôtel. Après quelques tentatives de monter des rues très escarpées sans être certains d'être dans la bonne direction (le GPS piétonnier n'arrive pas à bien nous situer à cause de l'étroitesse des rues et de l'impossibilité d'assurer la triangulation des satellites), on prend un taxi qui nous conduits en quelques minutes à notre port d'attache, l'hôtel Sercotel Pintor El Greco .
Après une journée mal commencée et une arrivée ratée, on s'installe à l'hôtel et on part à la découverte des environs. Déception ! On dirait que Toledo est un vaste super marché. Toutes les rues regorgent de commerces de bébelles dites médiévales. On s'arrête à une terrasse pour dîner, pardon encore, pour déjeuner à 15 h. Déception ! Ce n'est pas à la hauteur de la description du menu, ni du prix affichés ! Puis, on repart un peu mécontents. Gisèle visite la cathédrale pendant que je furète dans les ruelles avoisinantes. Gisèle est ravie de sa visite. Je le suis moins de ma randonnée.
Après une journée mal commencée et une arrivée ratée, on s'installe à l'hôtel et on part à la découverte des environs. Déception ! On dirait que Toledo est un vaste super marché. Toutes les rues regorgent de commerces de bébelles dites médiévales. On s'arrête à une terrasse pour dîner, pardon encore, pour déjeuner à 15 h. Déception ! Ce n'est pas à la hauteur de la description du menu, ni du prix affichés ! Puis, on repart un peu mécontents. Gisèle visite la cathédrale pendant que je furète dans les ruelles avoisinantes. Gisèle est ravie de sa visite. Je le suis moins de ma randonnée.
Déçus de notre journée, on rentre au bercail. Je m'endors à 20 h, Gisèle à peine plus tard. On soupera, pardon, on dînera une autre fois.
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