La journée a plutôt mal commencé. Des vertiges incommodants ont failli compromettre ma journée. Hypoglycémie ? Pourtant, l'indice glycémique est de 4,9 avant le petit déjeuner. Officiellement, pas de problème. On quitte la maison et on se dirige vers le musée Thyssen-Bornemisza, seule activité prévue au programme de la journée. Sans compter, bien sûr, le plaisir des découvertes effectuées durant le trajet pédestre.
Comme nous sommes partis tard, nous avons dû dîner en cours de route avant d'entrer au musée. Et toujours ces étourdissements. Après le repas et un comprimé de glucide, la situation revient à la normale. Hypoglycémie, donc, mais résorbée. Puis, pendant près de 3 heures, on visite ce grand musée. Voici ce qu'en écrit le CityMuseum :
Le musée Thyssen - Bornemisza est, avec le Prado et le musée Reina Sofia, l'un des éléments qui confère au Paseo del Prado une renommée artistique unique au monde.E n 1993, l'Etat Espagnol a acheté la collection au baron Hans Heinrich Thyssen - Bornemisza. Il s'agit d'un ensemble de 800 oeuvres qui s'étalent entre le XIVe siècle et le XXe siècle. Vous pourrez y apprécier un remarquable ensemble de peintures primitives italiennes et flamandes, un magnifique groupe de portraits de la Renaissance, une collection de peintures flamandes et allemandes mais aussi un vaste recueil de peintures contemporaines: impressionnisme, fauvisme, expressionnisme, avant - gardisme, pop art. Aux 800 oeuvres qui composent la collection du baron s'ajoutent celles de sa veuve, Carmen Thyssen - Bornemisza.
Malgré cette description invitante, nous n'avons pas été séduits par ce musée.

Retour par la Puerta del Sol, arrêt sur la Plaza Mayor pour un apéro, quelques achats au marché, rentrée au bercail. Bonnes nouvelles : Francine G. nous informe, par le blogue, qu'elle apprécie la nouvelle coupe de Gisèle, Marijo nous informe, par courriel, que la maison est vendue, Francine M. nous informe, par Skype, que la famille va bien, René nous informe, par courriel, que la pizza napolitaine est délicieuse chez Elio ! On a quasiment le goût de revenir pour fêter ça !
Et les autres dont on n'a pas de nouvelles, on se demande comment ça va ? On a quasiment le goût de revenir rien que pour savoir ça !